"Perdi uma palavra, que me buscava" : a linguagem do trauma, o trauma da linguagem, a diferença em questão na poética de Jacques Derrida e Paul Celan

Abstract

This thesis is dedicated to a study on the possibility of a trauma theory in the Jacques Derrida‟s thought with motivation referenced in the work of the Romanian poet German-speaking Paul Celan. Therefore, we have been thinking of three concerns derived from the idea of writing, trace and justice that permeate what we can identify here as the thought of difference (différance). When we turn to the poetics of Paul Celan, we take into account the problem of aesthetic construction from the second half of the twentieth century, especially on the direct relationship which Paul Celan established with European philosophers such as T.W. Adorno, Martin Buber and Martin Heidegger. His discussion in the Western thought is going for the creation of a new aesthetic conception from the clash with avant-garde music. The discussion extends to the silence, its repercussions in extrapolating the field of phenomenology, addressing the historical dispositions that mark the two modalities of silence: one due to the helplessness from the victims and other from an embarrassment of those who lost the War. We also examine the widespread helplessness of Paul Celan‟s poetic work, especially in the loss of the word as an object of meaning, and from now on rely on the perspective of a fragmented word. The idea of responsibility, in the Emmanuel Levinas‟ interpretation, leads us to the reflection of a support in the maternity as a necessary elaboration of the past and its impossibility imposed in the present time, taking us to the considerations of Jacques Derrida. Finally, we have “Le Menhir”, the torment as we approach the graying stone, reinforcing the sense that its grayness color implies for the subjectivity. The trauma in Paul Celan here is seen with a perspective of future elaboration.

Cette thèse est consacrée à une étude de la possibilité d'une théorie du traumatisme à la pensée de Jacques Derrida avec la motivation a référencé à l‟oeuvre du poète roumain germanophone Paul Celan. À cette fin, ont été dérivées trois préoccupations de l‟idée d‟écriture, trace et la justice que nous pouvons ici identifier comme la pensée de la différence (différance). Lorsque nous nous tournons vers la poésie de Paul Celan, nous considérons le problème de la construction esthétique de la seconde moitié du XXe siècle, en particulier dans la relation directe que Paul Celan établi avec les philosophes européens tels que T. W. Adorno, Martin Buber et Martin Heidegger. Sa discussion dans le pensée occidentale vers à un nouveau design esthétique avec la musique d‟avant-garde de l‟affrontement. Le débat se prolonge au silence, ses répercussions au extrapoler le domaine de la phénoménologie, se dirigeant pour les règles historiques qui marquent les deux modalités du silence: l‟une en raison de l‟impuissance des victimes et une autre résultant d'un embarras des ceux qui ont perdu la guerre. Nous examinons aussi l‟impuissance étendue dans toute l‟oeuvre poétique de Paul Celan, en particulier la perte du mot comme un objet signification, devrait désormais compter sur la perspective du mot fragmentée. L‟idée de responsabilité dans l‟interprétation de Emmanuel Levinas nous conduit à la réflexion d‟un soutien dans la maternité, l‟élaboration nécessaire du passé et de leur incapacité imposée à l‟heure actuelle, nous prendre à des considérations Jacques Derrida. Enfin, nous avons « Le Menhir » l'épreuve que nous approchons de cette pierre, renforce le sentiment que sa couleur gris implique à la subjectivité. Le traumatisme dans Paul Celan ici est vu dans une perspective de développement futur.